UST 16 : dimanche 26 juillet 2020
Votre famille est arrivée ; Première réaction : la plage. Mais, après les coups de soleil, vient le temps des visites touristiques.
Nous vous proposons aujourd'hui trois destinations locales, bien connues de nos randonneurs.
Abbaye de Sordes
Du Xe siècle, entourée de remparts issus de l’ancienne bastide. "En 1290, le paréage conclu entre l’abbé de Sorde et Eustache de Beaumarché, sénéchal du Toulousain, a mis la ville et ses appartenances, menacées par le roi d’Angleterre, sous la protection du roi de France. L’abbaye est alors entourée de remparts. De cette époque, il reste quelques rares maisons. L’abside et les deux absidioles de l’église remontent au XIIe siècle et la tour-clocher au Xe ".
Bastide d'Hastingues
"Fondée au 13ème siècle, aux confins du pays d'Orthe, par contrat entre l'abbaye d'Arthous et le sénéchal anglais, Jean de Hastings".
Château de Morlanne
"Érigé en 1373 par Gaston III de Foix-Béarn (dit « Gaston Fébus »), c'est l’un des plus beaux exemples de construction fébusienne aux confins des Landes et du Béarn. Son architecture de pierres et de briques en fait une forteresse."
UST 15 : samedi 25 juillet 2020
Le 27 août prochain, une conférence sera organisée à Saint-Palais : il y sera question de l'histoire des moulins d'Amikuse, des meuniers et des rivières qui traversent ce petit territoire Bas-Navarrais.
Ceci nous rappelle une sympathique randonnée sur le chemin vert de l'Uhabia, à Bidart, vers le moulin de Bassilour en début de cette année.
UST 14 : vendredi 24 juillet 2020
Pedro RIBERA (1867-1949)
"Fandango à Saint-Jean de Luz".
Huile sur toile 41 x 55 cm.
Cette vente va avoir lieu samedi 25 juillet à partir de 14 h 30, au trinquet de Guéthary
BAYONNE Festivals
« Paseo - Pause chorégraphique ».
Avec la compagnie Illicite de Bayonne dirigée par Fábio Lopez, ancien danseur d’école-atelier Rudra Béjart et du Malandain ballet, avec les danseurs Coline Grillat et David Claisse sur une musique de Frédéric Chopin À 17 h, 18 h, 19 h et 20 h, Sur la place de la Liberté.
« Paseo - Théâtre de rue ».
« Mystérieuses coiffures «, sculpteur capillaire, dompteur de crinière, magicien du cheveu… Christophe Pavia avec son peigne qui décoiffe et ses ciseaux qui prennent des allures de sécateur sur les passants qui deviennent une œuvre ambulante, de 17 h ’à 20 h. Sur le carreau des halles.
UST 13 : jeudi 23 juillet 2020
Le village a été fondé au XIe siècle. Il était administré à l'origine par le monastère de San Salvador, mais obtint son indépendance après la Révolution française. Le style architectural des édifices combine harmonieusement noblesse et tradition. On peut y voir le blason des Indianos, habitants qui avaient émigré aux XVIIIe et XIXe siècles en Amérique et qui, revenus riches, construisirent de somptueuses demeures.
UST 12 : mercredi 22 juillet 2020
La randonnée fortifie surtout le bas du corps, les bâtons font participer les bras .
Des grands dorsaux aux biceps, la barre de traction est un outil de musculation particulièrement efficace pour entretenir le haut du corps avec des exercices variés.Des biceps gonflés et saillants à souhait sans mettre les pieds dans une salle de musculation ? C'est possible en achetant une barre de traction. Facile à poser à domicile, la barre de traction deviendra la meilleure alliée de votre silhouette.
Barre de traction : comment choisir la meilleure ?
Avant toute chose, acheter une barre de traction implique une réflexion sur son usage et son emplacement dans votre maison. Pour une pratique régulière, mais modérée d'exercices de musculation, vous pouvez privilégier une barre de traction ajustable. Ce type de barre, maintenu par pression entre deux murs, a l'avantage de la mobilité et d'être extensible (vous pouvez modifier leur dimension en fonction de l’encadrement de votre porte). Mais gare aux exercices trop intensifs ou aux grands gabarits ! Pour les barres sans fixation, les caoutchoucs de maintien doivent être solidaires de l’élément principal.
KINTOA
Un cochon de race pure basque, élevé en plein air, dont le jambon, une fois affiné (seize à dix-huit mois), offre une viande de chair rouge, persillée et riche en goût. « Manger un morceau de kintoa, c’est avoir un goût de sous-bois, un jour de pluie, dans la bouche », décrit Pierre Oteiza. « Les choses simples doivent se manger simplement. »
Le jambon kintoa fait partie de ces produits qui se suffisent à eux-mêmes. Il peut se manger à toute heure.
Pour le producteur, le meilleur moment reste le matin, au petit déjeuner.
« Une tranche épaisse, juste passée en aller-retour à la poêle, et tous les arômes du jambon gagnent en puissance. » Vous pouvez aussi bien l’apprécier cru, accompagné par exemple d’un morceau de melon. Le déguster, c’est déguster « un morceau de terroir ».
UST 11 : mardi 21 juillet 2020
Aujourd'hui, nous évoquons la sécurité. Que ce soit en rando ( en cas d'orage ) ou, tout simplement, à la baignade ( n'oublions pas les baïnes ).
Les experts de la société Météorage, basée à Pau, ont établi que le nombre de foudroyés était plus élevé dans la rue ou les parcs urbains . La montagne n’arrive qu’en troisième position derrière les lieux de travail extérieur.
«Beaucoup auraient pu être évités ; Quand il y a un orage, les badauds continuent de marcher, les ouvriers du BTP ou les agriculteurs poursuivent leur travail. On a autant de golfeurs que d’éboueurs foudroyés. Il existe un véritable défaut de sensibilisation ».
90 % de l’activité électrique d’un orage reste dans les nuages. « La probabilité est infime mais, souvent, le risque a été sous-estimé. En moyenne, à Pau, il y a 30 jours d’orage par an. Un seul sera dangereux avec un éclair qui tombe à proximité d’une personne. C’est sûr, ce n’est rien par rapport au nombre de noyades.»
«Dès qu’on entend du tonnerre, il faut se mettre à l’abri. »
On voit trop souvent : ‘‘c’était soudain et imprévisible’’. C’est faux. Un orage stationnaire est long à se former, on peut anticiper. La plupart des accidents se produisent alors que les orages sont déjà actifs sur la zone depuis plus de 30 minutes. Autre mauvais réflexe, « 30% des victimes de foudroiement avaient continué une activité extérieure ou s’étaient mises à l’abri sous… un arbre.» Et oui, on a beau le savoir !
Point positif, les orages ne sont pas plus fréquents, ni plus violents. «On ne note pas d’évolution particulière sur les vingt dernières années. Par exemple, 2018 a été l’année la plus foudroyée depuis l’existence des mesures en 1987.
Ce n’est pas dû au réchauffement climatique. C’est la conséquence de phénomènes conjoncturels. Les orages commencent souvent à la sortie de l’hiver lorsqu’il y a un peu d’air chaud et de l’air froid en altitude. La plupart des orages ont lieu en juillet alors qu’on pense, à tort, qu’ils se produisent plus souvent en août.»
UST 10 : lundi 20 juillet 2020
Notre monde est en pleine mutation.
Comment était notre ville il y a 100 ans ?
Qu'avons-nous conservé ?
Nous vous proposons de feuilleter avec nous l'ouvrage d' Edouard Ducéré, qui se posait ces mêmes questions en 1893...
Pas de smartphone à l'époque, mais on gravait sur cuivre !
Illustrations de Ferdinand Corrèges (1844-1904), dessinateur, peintre et graveur bayonnais.
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